Au contact d’un autre musicien, le violoniste peut se sentir démuni lorsqu’arrive le moment où il va devoir l’accompagner et meubler le silence qui risque de s’installer sans son concours. Ce sentiment de gêne si familier à nous les violonistes a été bien résumé par le violoniste de jazz Pierre Blanchard dans son ouvrage: « le violoniste a longtemps été confronté, dans son apprentissage, au besoin impératif de s’assurer le concours d’un guitariste ou d’un pianiste pour l’accompagner, sans jamais d’ailleurs pouvoir lui rendre la politesse ».
Voici donc deux méthodes simples d’accompagnement au violon qui sont non seulement ludiques mais qui nous aident à maîtriser nos connaissances harmoniques.